DOI article:
Leroi, Paul: Le Musée des arts décoratifs
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.16910#0219
i9o L'ART.
Nous n'oublierons jamais l'accueil, les encouragements et le concours si actif que nous avons
trouvés chez eux.
Une dette de gratitude qui ne nous tient pas moins à cœur, c'est de dire publiquement
combien, dès le début, a applaudi à notre initiative le sympathique et éminent directeur du
South Kensington Muséum, M. Philip Cunliffe Owen, le secrétaire général, c'est-à-dire l'âme de
la Commission anglaise pour l'Exposition universelle de 1878.
Est-il besoin de signaler l'empressement qu'a mis Sir Richard Wallace à accorder son illustre
et fécond patronage? La France ne s'acquittera jamais de tout ce qu'elle doit à ce Parisien de
Londres, qui l'aime comme une seconde patrie.
L'appel que nous avons fait en province à deux des hommes que passionnent le plus noble-
ment toutes les questions d'art, a été également immédiatement accueilli de .la manière la plus
cordiale ; nous avons nommé notre digne collaborateur M. Adrien Dubouché, le directeur —
pour ne pas dire le bienfaiteur — du Musée céramique de Limoges, et M. Édouard Reynart,
l'administrateur si dévoué des Musées de Lille.
Un dernier mot : c'est à nos confrères de la presse qui mirent spontanément tant de
bienveillance à accueillir notre projet, à y applaudir, que nous nous adressons ; qu'ils reçoivent ici
l'expression de toute notre gratitude et qu'il nous soit permis de citer tout particulièrement
M. Paul Dalloz qui ne se borna pas à une adhésion chaleureuse dans le Moniteur universel,
mais qui écrivit à notre directeur, M. Eugène Véron, la lettre qu'a publiée F Art et nous
envoya des premiers sa souscription.
Paul Leroi.
i. Voir l'Art, 2° année, tome III, page 286.
Cul-de-lampe composé et gravé par Nicolas Loir.
Nous n'oublierons jamais l'accueil, les encouragements et le concours si actif que nous avons
trouvés chez eux.
Une dette de gratitude qui ne nous tient pas moins à cœur, c'est de dire publiquement
combien, dès le début, a applaudi à notre initiative le sympathique et éminent directeur du
South Kensington Muséum, M. Philip Cunliffe Owen, le secrétaire général, c'est-à-dire l'âme de
la Commission anglaise pour l'Exposition universelle de 1878.
Est-il besoin de signaler l'empressement qu'a mis Sir Richard Wallace à accorder son illustre
et fécond patronage? La France ne s'acquittera jamais de tout ce qu'elle doit à ce Parisien de
Londres, qui l'aime comme une seconde patrie.
L'appel que nous avons fait en province à deux des hommes que passionnent le plus noble-
ment toutes les questions d'art, a été également immédiatement accueilli de .la manière la plus
cordiale ; nous avons nommé notre digne collaborateur M. Adrien Dubouché, le directeur —
pour ne pas dire le bienfaiteur — du Musée céramique de Limoges, et M. Édouard Reynart,
l'administrateur si dévoué des Musées de Lille.
Un dernier mot : c'est à nos confrères de la presse qui mirent spontanément tant de
bienveillance à accueillir notre projet, à y applaudir, que nous nous adressons ; qu'ils reçoivent ici
l'expression de toute notre gratitude et qu'il nous soit permis de citer tout particulièrement
M. Paul Dalloz qui ne se borna pas à une adhésion chaleureuse dans le Moniteur universel,
mais qui écrivit à notre directeur, M. Eugène Véron, la lettre qu'a publiée F Art et nous
envoya des premiers sa souscription.
Paul Leroi.
i. Voir l'Art, 2° année, tome III, page 286.
Cul-de-lampe composé et gravé par Nicolas Loir.