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Par divç >
abri
qués
ntdesesfaSti
etoit
«orceaux teint
parties Je \
murrhinart|
lisent les tm
ère celui
DE LA GÉOGRAPHIE COMPARÉE
ET DE L'ANCIEN ÉTAT
DES COTES DE LA MER ROUGE,
r r
consideres
PAR RAPPORT AU COMMERCE DES ÉGYPTIENS DANS LES
DIFFÉREN S AGES;
PAR M. ROZIERE,
Ingénieur des mines, Membre de la Commission des sciences.
pouvoit pré»
> ni ce tissu a
ières minérales
:idens partial
loi sans dooe
des Romain
e chez cespeif
utres ouvrage
Lorsque la connoissance du local actuel se joint à l'étude des monumens de l'anti-
quité en ce qui concerne la géographie, c'est sur un fondement réel que l'on juge des
positions anciennes; on les voit, pour ainsi dire, dans leur place; on acquiert même le
moyen de discerner le plus ou le moins d'exactitude qu'ont mis les anciens dans leurs
descriptions : autrement tout ce que l'on peut faire se réduit à une représentation
idéale, selon la manière d'entendre ces descriptions, ou de les concevoir........
Les pays qui ont prévalu sur d'autres par leur célébrité, font désirer particulièrement
d'avoir le secours de cette connoissance dont je parle.
D'An ville, Mémoires de V Académie des inscriptions,
faux murrlii,
e le peu de ret
ans
les recheni
t par-là quelétoi'l
ction quenoosa*
murrhins,onp«
t également être*
bonnes raisons : ^
:s vases léspl^
émentpîu^
INTRODUCTION.
Les relations commerciales qui ont existé entre les anciens peuples des bords de
la Méditerranée et ceux de l'Océan Indien, méritent d'être bien éclaircies, non-
seulement à cause du jour qu'elles peuvent répandre sur diverses branches de l'his-
toire ancienne, mais encore par rapport au commerce ; car elles étoient fondées
sur des besoins réciproques qui n'ont pas totalement changé, et sur une disposition
géographique des lieux, plus invariable encore.
A la vérité, depuis la découverte du cap de Bonne - Espérance, toutes les
anciennes voies du commerce de l'Inde sont , pour ainsi dire, entièrement
abandonnées; mais il n'en faut pas conclure que les avantages de la voie mo-
derne soient suffisamment prouvés par ce seul fait : cette manière de raisonner ne
seroit bonne qu'autant que le commerce n'auroit jamais été gêné par des causes
étrangères.
Ce qui a été pratiqué autrefois pourroit-il donc l'être encore avec avantage,
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lisent les tm
ère celui
DE LA GÉOGRAPHIE COMPARÉE
ET DE L'ANCIEN ÉTAT
DES COTES DE LA MER ROUGE,
r r
consideres
PAR RAPPORT AU COMMERCE DES ÉGYPTIENS DANS LES
DIFFÉREN S AGES;
PAR M. ROZIERE,
Ingénieur des mines, Membre de la Commission des sciences.
pouvoit pré»
> ni ce tissu a
ières minérales
:idens partial
loi sans dooe
des Romain
e chez cespeif
utres ouvrage
Lorsque la connoissance du local actuel se joint à l'étude des monumens de l'anti-
quité en ce qui concerne la géographie, c'est sur un fondement réel que l'on juge des
positions anciennes; on les voit, pour ainsi dire, dans leur place; on acquiert même le
moyen de discerner le plus ou le moins d'exactitude qu'ont mis les anciens dans leurs
descriptions : autrement tout ce que l'on peut faire se réduit à une représentation
idéale, selon la manière d'entendre ces descriptions, ou de les concevoir........
Les pays qui ont prévalu sur d'autres par leur célébrité, font désirer particulièrement
d'avoir le secours de cette connoissance dont je parle.
D'An ville, Mémoires de V Académie des inscriptions,
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INTRODUCTION.
Les relations commerciales qui ont existé entre les anciens peuples des bords de
la Méditerranée et ceux de l'Océan Indien, méritent d'être bien éclaircies, non-
seulement à cause du jour qu'elles peuvent répandre sur diverses branches de l'his-
toire ancienne, mais encore par rapport au commerce ; car elles étoient fondées
sur des besoins réciproques qui n'ont pas totalement changé, et sur une disposition
géographique des lieux, plus invariable encore.
A la vérité, depuis la découverte du cap de Bonne - Espérance, toutes les
anciennes voies du commerce de l'Inde sont , pour ainsi dire, entièrement
abandonnées; mais il n'en faut pas conclure que les avantages de la voie mo-
derne soient suffisamment prouvés par ce seul fait : cette manière de raisonner ne
seroit bonne qu'autant que le commerce n'auroit jamais été gêné par des causes
étrangères.
Ce qui a été pratiqué autrefois pourroit-il donc l'être encore avec avantage,