Cfui,au DES ANCIENS ÉGYPTIENS. 67
oiîi (Je l'écriture hiéroglyphique, ayant une signification toute différente, selon leur
elle
est
Poiirrr" ;i
fi.etnu' place dans le discours. La pierre de Rosette en est une preuve démonstrative,
puisqu'il n'y a que dix ou onze nombres cités dans le grec, tandis que les hiéro-
oit^ glyphes de 1,10, 100, 0, fU et<f, sont répétés plus de trois cent seize fors dans la
ess°U$i|yaj seule partie conservée.
^tentai -A-u reste, on sera porté à croire que les Égyptiens avoient deux manières de
ntI(JUe$ % 1 noter les quantités et les nombres, si l'on considère qu'à Elethyid, où sont repré-
tisérneut qjhJ sentées des scènes domestiques et rurales, on voit des marchands vendre des den-
l'Egyptg ^ ' rées et compter des ballots, des hommes de la campagne comptant des mesures
semée à J^' et °-es sacs ^e grams> enfin un personnage occupé à enregistrer le résultat du calcul ;
îssez grand \ Ct ^UC cePenc^ant ^es signes numériques ordinaires ne se retrouvent point dans
jes les inscriptions contiguës à ces tableaux expressifs, tableaux dont le sens ne laisse
ung^jj C^ aucun doute (1). La figure de l'unité est la seule qu'on y voie; mais elle y a
certainement une autre signification : je ne donne cette réflexion que comme
une conjecture, qui ne peut nullement infirmer les résultats précédens.
D'autres planches de l'ouvrage, qui n'ont pas été mentionnées plus haut, ren-
ferment , en assez grand nombre, des exemples curieux et même importans de
caractères numériques. Nous aurons occasion de les citer, et d'en tirer les con-
séquences qui se présentent naturellement.
'ossihle de
viens de
toe. On âp
les caractère; ::
est aujoiÉ
ni même y
dans leur;:;;:,
oient delip
semblables, h
es, qui l'onti
n pratique ai
fruité à ^
ieuse de IV
rement inconE-
Lériques U
s ne faisons*
de farithmétif
supposée n#
butor
ratiques,
pris *
(1) Voyez pl. 68, A. vol, I,
-mes**9 A. tome il
oiîi (Je l'écriture hiéroglyphique, ayant une signification toute différente, selon leur
elle
est
Poiirrr" ;i
fi.etnu' place dans le discours. La pierre de Rosette en est une preuve démonstrative,
puisqu'il n'y a que dix ou onze nombres cités dans le grec, tandis que les hiéro-
oit^ glyphes de 1,10, 100, 0, fU et<f, sont répétés plus de trois cent seize fors dans la
ess°U$i|yaj seule partie conservée.
^tentai -A-u reste, on sera porté à croire que les Égyptiens avoient deux manières de
ntI(JUe$ % 1 noter les quantités et les nombres, si l'on considère qu'à Elethyid, où sont repré-
tisérneut qjhJ sentées des scènes domestiques et rurales, on voit des marchands vendre des den-
l'Egyptg ^ ' rées et compter des ballots, des hommes de la campagne comptant des mesures
semée à J^' et °-es sacs ^e grams> enfin un personnage occupé à enregistrer le résultat du calcul ;
îssez grand \ Ct ^UC cePenc^ant ^es signes numériques ordinaires ne se retrouvent point dans
jes les inscriptions contiguës à ces tableaux expressifs, tableaux dont le sens ne laisse
ung^jj C^ aucun doute (1). La figure de l'unité est la seule qu'on y voie; mais elle y a
certainement une autre signification : je ne donne cette réflexion que comme
une conjecture, qui ne peut nullement infirmer les résultats précédens.
D'autres planches de l'ouvrage, qui n'ont pas été mentionnées plus haut, ren-
ferment , en assez grand nombre, des exemples curieux et même importans de
caractères numériques. Nous aurons occasion de les citer, et d'en tirer les con-
séquences qui se présentent naturellement.
'ossihle de
viens de
toe. On âp
les caractère; ::
est aujoiÉ
ni même y
dans leur;:;;:,
oient delip
semblables, h
es, qui l'onti
n pratique ai
fruité à ^
ieuse de IV
rement inconE-
Lériques U
s ne faisons*
de farithmétif
supposée n#
butor
ratiques,
pris *
(1) Voyez pl. 68, A. vol, I,
-mes**9 A. tome il