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https://doi.org/10.11588/diglit.6109#0009
I/o UVRA GE que VOTRE MAJESTÉ me permet de lui présenter, et qui renferme
une partie aussi nouvelle que curieuse de l'Histoire de l'Art antique, est le fruit
d anciennes recherches et d'un long travail entrepris et terminé dans ces temps si près
et déjà si loin de nous, ou des études solitaires étaient devenues pour l'homme de
lettres Je seul refuge contre l'oppression ou la faveur d'un gouvernement usurpateur,
la seule diversion au sentiment des maux causés par votre absence. .
C'est sans doute un sort heureux pour l'Auteur de cet ouvrage, de pouvoir le
publier a l'époque glorieuse et si long-temps désirée du retour de VOTRE MAJESTÉ.
C'en est un plus heureux encore de le faire paraître sous les auspices d'un Prince
qui embrasse l'universalité des connaissances, dont les lettres et les arts ont charmé les
malheurs, et qui aux jours de sa gloire saura, par une protection reconnaissante,
les rappeler autour de ce trône, a l'ombre duquel ils ont fleuri pendant tant de siècles
Mais le bonheur le plus grand pour l'Auteur, est de trouver, dans la publication
actuelle de son ouvrage, l'occasion de manifester son zèle pour la personne de VOTRE
MAJESTE, et son ancien dévouement à la cause sacrée que la Providence vient de
faire triompher.
En daignant agréer l'hommage que j'ai osé lui adresser, VOTRE MAJESTE
mettra le comble à mes vœux, si Elle me permet de publier que les sentiments que
je professe aujourd'hui, Elle les connaît depuis long-temps ; si je puis invoquer son
auguste témoignage comme garant de l'expression de mon attachement à la Monarchie
légitime, et de mon inviolable fidélité envers sa Personne sacrée et son auguste Famille.
Je suis avec le plus profond respect,,
SIRE,
DE VOTRE MAJESTÉ,
Le très-humble et très-fidèle sujet
une partie aussi nouvelle que curieuse de l'Histoire de l'Art antique, est le fruit
d anciennes recherches et d'un long travail entrepris et terminé dans ces temps si près
et déjà si loin de nous, ou des études solitaires étaient devenues pour l'homme de
lettres Je seul refuge contre l'oppression ou la faveur d'un gouvernement usurpateur,
la seule diversion au sentiment des maux causés par votre absence. .
C'est sans doute un sort heureux pour l'Auteur de cet ouvrage, de pouvoir le
publier a l'époque glorieuse et si long-temps désirée du retour de VOTRE MAJESTÉ.
C'en est un plus heureux encore de le faire paraître sous les auspices d'un Prince
qui embrasse l'universalité des connaissances, dont les lettres et les arts ont charmé les
malheurs, et qui aux jours de sa gloire saura, par une protection reconnaissante,
les rappeler autour de ce trône, a l'ombre duquel ils ont fleuri pendant tant de siècles
Mais le bonheur le plus grand pour l'Auteur, est de trouver, dans la publication
actuelle de son ouvrage, l'occasion de manifester son zèle pour la personne de VOTRE
MAJESTE, et son ancien dévouement à la cause sacrée que la Providence vient de
faire triompher.
En daignant agréer l'hommage que j'ai osé lui adresser, VOTRE MAJESTE
mettra le comble à mes vœux, si Elle me permet de publier que les sentiments que
je professe aujourd'hui, Elle les connaît depuis long-temps ; si je puis invoquer son
auguste témoignage comme garant de l'expression de mon attachement à la Monarchie
légitime, et de mon inviolable fidélité envers sa Personne sacrée et son auguste Famille.
Je suis avec le plus profond respect,,
SIRE,
DE VOTRE MAJESTÉ,
Le très-humble et très-fidèle sujet