LA « ROYAL ACADEMY » ET LA « GROSVENOR GALLERY ». 179
école. On pourra dire, peut-être, que son dessin manque en général de grandeur ; qu'il exclut
délibérément de son idéal le sentiment qui distingue les peintures de MM. Jones ou Watts.
Mais, d'autre part, c'est un fait caractéristique de sa manière que la perfection, en apparence
facile, de toutes les parties. On ne saurait découvrir dans sa peinture aucun signe d'incertitude,
de fatigue, d'effort ni de timidité. Aussi ses œuvres contrastent-elles avec beaucoup de tableaux
de VÀcademy, où l'intention est mal définie, et l'exécution technique très incomplète. Ces
école. On pourra dire, peut-être, que son dessin manque en général de grandeur ; qu'il exclut
délibérément de son idéal le sentiment qui distingue les peintures de MM. Jones ou Watts.
Mais, d'autre part, c'est un fait caractéristique de sa manière que la perfection, en apparence
facile, de toutes les parties. On ne saurait découvrir dans sa peinture aucun signe d'incertitude,
de fatigue, d'effort ni de timidité. Aussi ses œuvres contrastent-elles avec beaucoup de tableaux
de VÀcademy, où l'intention est mal définie, et l'exécution technique très incomplète. Ces