Zirardini, Giuseppe; Delécluze, Étienne Jean; Delécluze, Étienne Jean; Ubicini, Abdolonyme [Transl.]
L' Italie littéraire et artistique: Galerie de cent portraits des poètes, prosateurs, peintres, sculpteurs, architectes et musiciens les plus illustres avec des notices historiques et anecdotiques
— Paris: Baudry, librairie européenne, 1851
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https://doi.org/10.11588/diglit.63254#0276
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Femmes Poëtes Ancienne et Modernes
DOI chapter:Laura Terracina
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- Einband
- Schmutztitel
- Frontispiz
- Titelblatt
- I-VII A mes élèves
- 1-24 Du Génie italien
- 25-89 Poëtes Italiens
- 91-131 Poëtes du Moyen Age
- 133-186 Poëtes Contemporains
- 187-235 Poëtes Tragiques et Comiques
- 237-261 Femmes Poëtes Ancienne et Modernes
- 263-308 Conteurs
- 309-351 Prosateurs du XIVᵉ au XVIᵉ Siècle
- 354-388 Prosateurs du XVIIᵉ au XIXᵉ Siècle
- 389-433 Prosateurs du XIXᵉ Siècle
-
435-491
Peintres, Sculpteurs, Architectes
- 435-437 Giotto di Bondone
- 438-441 Lionardo da Vinci
- 442-445 Tiziano Vecellio
- 446-450 Raffaello Sanzio
- 451-452 Giulio Pippi dit Jules Romain
- 453-454 Antonio Allegri dit le Corrßège
- 455-457 Jacopo Robusti dit le Tintoret
- 458-460 Paolo Caliari dit Paul Véronèse
- 461-462 Giovanni Francesco Barbieri dit le Guerchin
- 463-464 Filippo Brunelleschi
- 465-468 Michelangelo Bonarroti
- 469-472 Benvenuto Cellini
- 473-475 Andrea Palladio
- 476-478 Annibale Carracci
- 479-481 Guido Reni
- 482-483 Francesco Albani
- 484-487 Domenico Zampieri dit le Dominiquin
- 488-491 Antonio Canova
- 493-515 Musiciens Anciens et Modernes
- Einband
- Maßstab/Farbkeil
250 LAURA TERRACINA.
Qu’aurait répondu à ce critique le révérend Antonio Calamita, lequel
n’a pas assez d’antithèses dans les huit vers suivants pour célébrer la
belle napolitaine?
« Donner de la lumière au soleil, de l’eau à la mer et des étoiles au
ciel, à Samos des vases et des hiboux à Athènes, au feu de la chaleur
et du froid à la gelée, aux montagnes des pierres et du sable au rivage,
l’oubli au sommeil, à la nuit un voile obscur, les Muses au Parnasse ,
à mon cœur la flamme et les crocodiles à l’Égypte : voilà ce que je fais
en écrivant des vers à sa louange. »
Qu’aurait répondu à ce critique le révérend Antonio Calamita, lequel
n’a pas assez d’antithèses dans les huit vers suivants pour célébrer la
belle napolitaine?
« Donner de la lumière au soleil, de l’eau à la mer et des étoiles au
ciel, à Samos des vases et des hiboux à Athènes, au feu de la chaleur
et du froid à la gelée, aux montagnes des pierres et du sable au rivage,
l’oubli au sommeil, à la nuit un voile obscur, les Muses au Parnasse ,
à mon cœur la flamme et les crocodiles à l’Égypte : voilà ce que je fais
en écrivant des vers à sa louange. »