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0.5
1 cm

CARLO GOLDONI
225
CD
le la révolution
espérance, et
à la piété d’un
on viagère par
de la Villégia-
dies, beaucoup
me inimitables
vénitien et les
s et sesraffine-
mt les critiques
ne faillit jamais
lien, spectacle,
ami qui put, n= o>
la Convention
Celui qui vo
lire ses Mémoi
toire de sa vie
de Goldoni qu= s
de sa personne
grand nombre-
che qu’on peuE
la propriété dE
pas toujours aE
tribuer, comr-
italien n’a qu’à
r servir à l’his-
ût là à la plume
ver, par l’éloge
mposa en assez
In autre repro-
iu soigneux de
me ne répond
i, au lieu d’at-
s de son style
toutes les cri-
une mauvaise
3 du Tasse, en
de présomp-
négliger la pratique et les profits du barreau. Cependant, par une in-
gratitude dont on a plus d’un exemple, Venise, qui devait à Goldoni la
restauration de sa scène comique, Venise, dont il avait consacré le
dialecte dans plusieurs de ses pièces, se montra avare envers le con-
citoyen qui l’avait illustrée, et lorsque pour s’arracher lui et sa famille
à la pauvreté, il accepta les offres du directeur du théâtre italien de
Paris, elle ne fit aucun effort pour le retenir.
Goldoni fut plus heureux à l’étranger que dans sa terre natale. Entouré
d’amis illustres, les honneurs et les profits vinrent d’eux-mêmes au-
devant de lui. Devenu maître d’italien des princesses royales, il put com-
poser à loisir les comédies qu’il envoyait en Italie, et qui rendirent son
nom célèbre dans toutes les parties de la Péninsule. La vérité des pas-
sions, la simplicité de l’intrigue, la connaissance profonde des mœurs et
des ridicules du temps, la verve comique acquirent une grande vogue
à rAmi véritable, au Père de famille, aux Caquets des femmes, à
Paméla marié
ture, à rHôtel
sont en vers ; (
par ceux à qu
mœurs de cetl
ments que par
pf. les inimitié'
O
O
225
CD
le la révolution
espérance, et
à la piété d’un
on viagère par
de la Villégia-
dies, beaucoup
me inimitables
vénitien et les
s et sesraffine-
mt les critiques
ne faillit jamais
lien, spectacle,
ami qui put, n= o>
la Convention
Celui qui vo
lire ses Mémoi
toire de sa vie
de Goldoni qu= s
de sa personne
grand nombre-
che qu’on peuE
la propriété dE
pas toujours aE
tribuer, comr-
italien n’a qu’à
r servir à l’his-
ût là à la plume
ver, par l’éloge
mposa en assez
In autre repro-
iu soigneux de
me ne répond
i, au lieu d’at-
s de son style
toutes les cri-
une mauvaise
3 du Tasse, en
de présomp-
négliger la pratique et les profits du barreau. Cependant, par une in-
gratitude dont on a plus d’un exemple, Venise, qui devait à Goldoni la
restauration de sa scène comique, Venise, dont il avait consacré le
dialecte dans plusieurs de ses pièces, se montra avare envers le con-
citoyen qui l’avait illustrée, et lorsque pour s’arracher lui et sa famille
à la pauvreté, il accepta les offres du directeur du théâtre italien de
Paris, elle ne fit aucun effort pour le retenir.
Goldoni fut plus heureux à l’étranger que dans sa terre natale. Entouré
d’amis illustres, les honneurs et les profits vinrent d’eux-mêmes au-
devant de lui. Devenu maître d’italien des princesses royales, il put com-
poser à loisir les comédies qu’il envoyait en Italie, et qui rendirent son
nom célèbre dans toutes les parties de la Péninsule. La vérité des pas-
sions, la simplicité de l’intrigue, la connaissance profonde des mœurs et
des ridicules du temps, la verve comique acquirent une grande vogue
à rAmi véritable, au Père de famille, aux Caquets des femmes, à
Paméla marié
ture, à rHôtel
sont en vers ; (
par ceux à qu
mœurs de cetl
ments que par
pf. les inimitié'
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