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Verein für Historische Waffenkunde [Hrsg.]
Zeitschrift für historische Waffen- und Kostümkunde: Organ des Vereins für Historische Waffenkunde — 3.1902-1905

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Heft 11
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Fachnotizen
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Litteratur
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https://doi.org/10.11588/diglit.37714#0350

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334

Zeitschrift für historische Waffenkunde.

III. Band.

Zur Geschichte der Windbüchse. Zu der von
dem Herrn Ingenieur F. M. Feldhaus angeregten Erör-
terung über Luftgewehre, deren Verwendung im Frei-
heitskampfe der Tiroler mir neu ist, diene folgender
Beitrag. Der geschickte, aus Ampezzo stammende
Büchsenmacher Girandoni, welcher sich auch, als ihm
bei einem seiner Versuche der linke Arm zerschmettert
worden war, eine eiserne Hand konstruierte, versuchte
sich besonders auf dem Gebiete der Repetiergewehre.
Eine Frucht seiner Studien war die Repetierwindbüchse
M. 1779. Der 83 cm lange, zwölfzügige Lauf besass ein
Kaliber von 10 mm und trug an seiner rechten Seite
eine Magazinsröhre für 20 Kugeln. Die schmiedeeiserne
Flasche enthielt einen für 40 Schüsse berechneten Luft-
vorrat; doch wurde nach 20—-30 Schüssen eine neue
Flasche an die Waffe angeschraubt, -weil die abnehmende
Spannung der Luft im Reservoir natürlich nicht ohne
Einfluss auf die Schussweite blieb. Darum war jeder
Schütze auch mit 3—4 geladenen Flaschen ausgerüstet.
Die Schussweite betrug 150 Schritte; der Schütze konnte,
da nur 2 Ladegriffe erforderlich waren, bequem in einer
halben Minute seine 20 Schüsse abgegeben.
Diese Windbüchsen wurden von den Scharfschützen
des österreichischen Heeres in dem Zeitraum von 1787
bis 1801 geführt. Anfangs waren in jeder Kompagnie
mit diesem Luftgewehr 4 Mann versehen. Seit dem
Jahre 1790 wurden diese Leute in ein eigenes, 1313
Mann starkes Korps vereinigt, welches sich sehr gut be-
währte. Der empfindliche Mechanismus dieser Büchsen
bedingte aber so häufige Reparaturen, dass sich diese
Waffe bei der Truppe nicht erhielt, und im Jahre 1813
die noch vorhandenen Windbüchsen, deren Erzeugung
von beeideten Arbeitern als Geheimnis streng gehütet
wurde, in den Magazinen der Festung Olrnütz hinterlegt
wurden. ■)
Dr. Potier.


J. B. Giraud, Conservateur des Musees archfeologiques de
la ville de Lyon: Documents pour servil- ä l’Histoire de
1’Armement au Moyen-Age et ä la Renaissance. — 2 forts
volumes, Lyon 1895—1905. — (Propriete de l’auteur)
Mr. J. B. Giraud, l’erudit Conservateur des Musees ar-
cheologiques de la ville de Lyon, vient de faire paraitre le
dernier fascicule du Tome II de ses „Documents pour servir
äl’histoire de l’Armement au Moyen-äge et ä la Re-
naissance.“ Les lecteurs de notre Revue en connaissent dejä
le premier volume par les comptes-rendus elogieux de Mr.
Wendelin Boeheim, le regrette fondateur du Verein, für histo-
rische Waffenkunde; le deuxieme volume, plus considerable
en etendue, ne lui cede en rien en valeur. On ne pourra
desormais rien dire ni rien fecrire sur l’histoire de 1’armement

9 Dolleczek, Monographie der k. und k. öst.-ung.
blanken und Handfeuerwaffen, Wien 1896. — Erben und
John, Katalog des k. und k. Heeresmuseums, Wien 1903. —
Mitteilungen des Kriegsarchivs, 1890.

sans avoir consulte cet important ouvrage, appele ä prendre
une des premieres places dans la bibliotheque de tout archeo-
logue-es-armes.
Avant d’etudier la methode de Mr. J. B. Giraud et les
consequences de l’application de cette methode aux docu-
ments qu’il a mis en lumiere, nous allons analyser rapidement
les differents chapitres de son travail; bien que, comme nous
l’avons dit, nos lecteurs en connaissent dejä la premiere par-
tie, nous les p.rions de nous permettre de reprendre l’ouvrage
des le commencement pour leur donner une Idee exacte de
l’ensemble.
I. La Boutique et le mobilier d’un fourbisseur lyonnais
en 1555.
C’est la copie, et l’etude raisonnee d’un inventaire fait
apres la mort de ce fourbisseur, inventaire decrivant non seule-
ment les armes montfees ou non-montees trouvfees chez lui, mais
encore son outillage, et les procedes speciaux de hart du
monteur d’epees ä cette epoque.
II. Les Epees de Bordeaux. Areheologie comparee des
Industries du fer dans la Biscaye frai^aise, le pays de
Guyenne, et le Duche de Savoie,
Partant d’un texte de Montaigne, alors maire de Bor-
deaux, qui devait connaitre l’histoire de sa ville natale, et
qui attribue ä Bordeau (Savoie) la production des fameuses
epfees, dites de Bordeaux, si celebres au Moyen-äge, Mr. Gi-
raud a etudie la production miniere du fer spathique en Sa-
voie oü il la trouve tres considerable et dans la Gironde oü
eile est nulle; et, etayant son opinion de nombreux docu-
ments, il conclut ä l’origine Savoisienne des epees de Bor-
deaux,
III. Inventaire des Epees et Dagues du Comte de Salm,
conservees dans Phötel de Salm ä Nancy en 1614.
Ce prfecieux inventaire d’une collection d’armes du
commencement du XVIIe siede ne comprend pas moins de
267 articles, la plupart decrits avec abondance de details
precis et avec les termes techniques. Cela seul nous dispense
chinsister sur sa valeur.
IV. La boutique de Jean de Vouvray, armurier ä Tours
en 1512, et les armuriers en Touraine.
L’inventaire d’un fourbisseur lyonnais en 1555 nous a
montre l’outillage du monteur d’fepfees. Ici, nous trouvons
celui du batteur d’armures avec les armures completes faites
sur commande pour tel et tel Seigneur, et non encore livrfees;
celles faites d’avance, comme nos modernes confections;
et enfin les diverses pieces d’armures non encore montees,
ou inachevees.
Mr. Giraud a completfe les donnees precieuses que
fournit cet inventaire par une serie de documents sur
„Les Armuriers frangais etetrangers en Tou-
raine“;
Ces documents qui vont de 1292 ä 1568 fourmillent de
details sur la fabrication des armes, si importante dans cette
region, et sur le nouvel elan qu’imprimerent ä cette industrie
les armuriers milanais appeles par Louis XI.
V. Documents sur l’importation des armes italiennes ä
Lyon ä l'epoque de la Renaissance.
Un marche passe en 1561 entre Etienne Mussi armurier mi-
lanais et Ame Genou marchand lyonnais, pour la vente des
armes et armures envoyees ä ce dernier par le premier donne
sur 1’armement de la 2e moitie du XVIe siede et sur la
fabrication milanaise tous les details que l’on peut desirer.
' A ce propos, l’auteur a exhurne des archives lyonnaises
de nombreux et importants documents sur 1 importation des
armes italiennes ä Lyon. Enfin, il a felucide dans une sa-
vante dissertation deux mots rencontres dans les ouvrages
sur les armures, „la Buffe, et la Passegarde.“
VI. Supplement et Tables.
Les quelques pages du Supplement completent le cha-
pitreV; quant aux tables, nous en parlerons en rneme temps
que de celles du second volume.
VII. Une armure de joüte en 1514. Comptes de l’Ecurie
de Francois d'AngouIeme.
 
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